Alfred BRACONNIER

1839, 1908
;
Alfred
Braconnier
;
Géologie, Minéralogie
;
Texte
; par :
Étienne Bolmont

Alfred BRACONNIER (1839-1908)

Chargé de cours de géologie et de minéralogie

Marie Alfred Braconnier est né à Lunéville le 3 juillet 1839. Son père Louis Édouard (1802-1882), professeur de philosophie, puis principal du collège de Lunéville, est l’auteur de nombreux ouvrages scolaires. Son frère Charles Édouard (1832-1860), également polytechnicien (1852) appartiendra au Corps des mines. En août 1868, Alfred Braconnier épouse Edmée Marie Françoise Marchal. Ils ont deux filles, en 1869 et en 1872 (Jeanne Marie), puis un fils, Joseph Eugène Charles (1874-1961), également polytechnicien. Ce dernier deviendra général de corps d’armée et secrétaire général militaire de la présidence de la République auprès de Paul Doumer et d’Albert Lebrun.

Braconnier entre à l’École polytechnique en 1858, classé au deuxième rang sur 91 élèves. Il bénéficie alors d’une bourse de la ville de Cambrai qui lui permet de payer sa pension. Il sort second de l’école, ce qui lui permet de choisir le corps prestigieux des Mines. De 1860 à 1864, il est donc élève à l’École des mines, où il redouble néanmoins sa deuxième année. On note qu’il est également licencié ès sciences mathématiques et physiques, sans qu’il soit possible de connaître la date d’obtention de ses diplômes. À sa sortie de l’École des mines, il est nommé ingénieur ordinaire de 3e classe. En tant que tel, il doit assurer un service permanent, dit service ordinaire.

En 1864, il est dans un premier temps chargé du sous-arrondissement minéralogique de Mézières (Ardennes). Il est mis en congé de maladie en juillet, souffrant de crises nerveuses. Avant la fin de son congé, en novembre 1865, il reprend son service et se voit chargé du sous-arrondissement minéralogique de Nancy où il restera jusqu’en mai 1881. Il passe à la deuxième classe fin 1868. Malgré l’ampleur des tâches qui lui incombent, il prend le temps de préparer une licence de droit à la Faculté de Nancy.

La géologie n’a encore pas été enseignée à la Faculté des sciences de Nancy, le titulaire de la chaire d’histoire naturelle, Dominique Alexandre Godron* l’a toujours évitée, faute de temps. Quand Braconnier se propose pour cet enseignement, il reçoit tout de suite le soutien appuyé du recteur Louis Maggiolo : on le connaît pour les conférences qu’il a données à Lunéville en 1869, et ses travaux en géologie lui ont conféré une notoriété et une « renommée bien légitime de savoir ». En 1869, il est chargé d’un cours complémentaire de géologie et minéralogie à la faculté, qu’il assure pendant 4 semestres, avec l’éclipse d’un semestre en 1870, due à la guerre : de janvier à mars 1871, il effectue son service militaire comme chef de bataillon du génie civil attaché au 26e corps. Il poursuivra ses relations avec l’armée par des études diverses sur les fortifications de la région, de 1874 à 1880 (système Séré de Rivière), notamment sur la question de leur approvisionnement en eau (forts de Frouard, Toul et Épinal).

Le financement du cours de géologie n’est pas clairement défini ; la ville de Nancy est sollicitée pour en donner la moitié, mais elle s’y refuse, car elle a déjà largement contribué à donner à l’Université les meilleures conditions matérielles. Le recteur sollicite le ministère à plusieurs reprises à ce sujet. Le cours est bien suivi, par environ 70 auditeurs, et son enseignement est apprécié : Braconnier parvient à rendre la minéralogie attrayante selon le recteur Maggiolo. De plus, il investit son temps dans des études minéralogiques en profitant du laboratoire, fait de nombreux voyages d’études dans la région, complète les collections, achète des livres, le tout à ses propres frais.

Le recteur Maggiolo propose sa nomination comme officier d’Académie en récompense de ses services. En novembre 1871, Braconnier s’engage encore plus en montrant sa volonté de préparer une thèse et sa demande d’un congé d’un an est appuyée par le recteur Antoine Dareste de la Chavanne. Cette requête perd son sens quand la chaire de géologie est enfin créée en décembre 1871, Joseph Delbos* en devenant le titulaire.

À ce moment, Braconnier n’a pas encore touché de salaire, le ministère fait des difficultés et les doyens Godron* puis Xavier-Dagobert Bach* interviennent pour le soutenir dans sa réclamation. En 1872, Braconnier offre l’indemnité des quatre semestres qu’il a consacrés à cet enseignement, soit 2 400 francs, à la souscription nationale pour la libération du territoire. De 1865 à 1871, il travaille au laboratoire de la faculté et commence l’étude des minerais de fer de Meurthe-et-Moselle.

En 1872, avec l’approbation du ministère et l’apport d’une subvention de 5 000 francs de l’administration, il fonde « les laboratoires industriels de l’Est »  ; une société anonyme d’industriels de l’Est, où il continue à effectuer de nombreuses analyses de minerais de fer, permettant une évolution de l’industrie de la fonte par utilisation de minerais plus pauvres, mais calcaires, plutôt que des minerais plus riches, mais siliceux ou alumineux.

Pendant ces années à Nancy, il accomplit des tâches dévolues au service spécial et il effectue notamment des missions d’étude à l’étranger. Ainsi, il est chargé par Solvay de l’étude complète des gîtes de sel d’Europe centrale et sur l’implantation des soudières (1871) ; en Espagne pour le compte de la Société franco-belge de Montataire (1875), il visite des gisements de minerai de fer propre à la fabrication de l’acier pour la Société des hauts fourneaux de Maubeuge (1876). Il va également au Portugal pour étudier les gisements de fer magnétique de Serinha (1877), puis en Westphalie et dans la région de Cleveland aux États-Unis, pour étudier la déphosphoration du minerai de fer (1879).

Il publie un ouvrage sur les richesses minérales de Meurthe-et-Moselle en 1871, et en 1878, il améliore la carte géologique et agronomique de Meurthe-et-Moselle (correction des anciens tracés, introduction de nouvelles subdivisions, mesure précise de l’épaisseur des bancs et analyses en laboratoire, description de la nature du sol arable, statistique des récoltes, origine et composition des sources). La carte est honorée d’une médaille à l’Exposition universelle de 1878 et fait l’objet d’une souscription de 50 exemplaires en 1883 par le ministère des Travaux publics. Braconnier participe à la création de la Société de géographie de l’Est en 1879, aux côtés de Louis Grandeau* et de Georges Le Monnier*.

En 1872-1873, il fait des études pour le canal de l’Est. En 1877, il se penche sur l’utilité du canal de la Chiers qui doit relier le groupe industriel de Longwy au réseau de canaux français. Il étudie la source Marie à Bussang et des sources sulfatées dans les Vosges et travaille sur l’assainissement de l’établissement hydrominéral de Contrexéville (1876). En 1868, il effectue des études sur les chemins de fer d’intérêt local du département de la Meurthe. En février 1877, il est de plus attaché au contrôle technique des Chemins de fer de l’Est, puis en juin 1879, au 1er arrondissement de la 2e section du centre de l’exploitation des Chemins de fer de l’Est.

Dans un premier temps, son activité en tant qu’ingénieur des mines est plutôt appréciée par ses supérieurs. Il parle plusieurs langues, dont l’allemand et l’anglais, et ses connaissances scientifiques sont reconnues. On souligne cependant un sens de l’administration faible et son caractère brouillon. En 1867, l’ingénieur en chef de Nancy regrette qu’il n’apporte pas tout le soin attendu à son travail et qu’il le fasse faire par des subalternes. En 1869, le rapport souligne qu’il vient de se marier et qu’« on peut espérer que le bonheur domestique aura la meilleure influence sur ce qu’il a encore pu conserver de bizarrerie dans le caractère ». En 1870, il crée une entreprise de lessivage mécanique, avec le concours de son garde-mines, y engageant personnellement 7 500 francs. L’affaire sombre rapidement et il fait l’objet d’une dénonciation. Poursuivi par quelques actionnaires devant le tribunal de commerce, qui les déboute cependant de leur plainte pour inexactitude ou exagération des faits, Braconnier reçoit un blâme pour ingérence sans autorisation dans cette affaire.

Les choses semblent s’améliorer par la suite, jusqu’à des éloges de la part de l’inspecteur général des mines en 1871. Cependant, en 1873, une nouvelle dénonciation lui reproche de s’être assuré, pour la création du laboratoire, les concours d’industriels et de demandeurs de concessions sur lesquels il peut avoir une influence en tant qu’ingénieur du Corps des mines. Le préfet veut lui adresser des observations sévères et envisage un changement de résidence, mais aucune suite n’est donnée à cette affaire.

En 1876, l’inspecteur général des mines André Jacquot appuie sa demande de promotion à la première classe, mais l’année suivante, alors qu’il a seulement pris connaissance de l’affaire du laboratoire, il juge sévèrement Braconnier et retire sa proposition d’avancement : « M. Braconnier manque absolument de sens moral et aucune affaire n’est instruite par lui sans qu’il réclame aux intéressés de l’argent pour des entreprises qu’il patronne ». En 1878, l’inspecteur Édouard Descotte juge la sanction trop sévère et reprend la demande de passage à la 1e classe, ce qui devient effectif en mars 1879. Il est alors proposé à la Légion d’honneur par Nicolas Gentil, convaincu de sa bonne foi. En 1879, Braconnier demande à être déchargé du service ordinaire, en conservant le service du contrôle des Chemins de fer de l’Est, prétextant une trop lourde charge. Sa demande est refusée, sa hiérarchie estimant que « l’ingérence des ingénieurs dans les industries privées leur enlève l’indépendance nécessaire pour le service du contrôle ».

Son caractère « facile à froisser », capricieux et son manque de mesure ne l’empêchent pas d’obtenir la Légion d’honneur en juillet 1880 sur le rapport du ministre des travaux publics, introduit par l’ingénieur en chef des Ponts et chaussées Jean François Viller. Son attitude courageuse lors de l’effondrement de la mine de sel de Varangéville y est pour beaucoup.

Dans ces années, on lui reproche de se livrer à beaucoup trop d’activités extérieures, pour lesquelles il se montre plus zélé et actif que dans son service. Son service de contrôle est l’œuvre des garde-mines qu’il a sous ses ordres, « il y travaille le moins possible ». La solution proposée par l’ingénieur en chef est la mise en disponibilité que refuse le directeur au contrôle qui la juge sévère. Braconnier est alors déjà impliqué dans une affaire industrielle concernant le procédé de déphosphoration Thomas-Gilchrist dont le brevet a été acheté pour tout le département par la société de Wendel et Cie.

En juillet 1880, Braconnier est le principal acteur de la création de la Société lorraine industrielle dédiée à l’exploitation des ressources minières en sel et en fer et qui promeut un procédé de récupération de la chaleur perdue par les hauts fourneaux, forges et aciéries pour la fabrication du sel. Bien qu’il soit associé aux bénéfices et qu’il touche une rémunération substantielle, il prétend conserver sa liberté de fonctionnaire. À la parution du prospectus sollicitant des souscriptions, la Société des aciéries de Longwy déclare fausses certaines informations et l’accuse de conflit d’intérêts. Le prospectus est corrigé en conséquence, mais l’affaire est mise à la connaissance du public quand elle est relatée dans le journal le Progrès de l’Est, qui attaque la double casquette de Braconnier, ingénieur de l’État et industriel. Braconnier doit alors demander un congé de ses fonctions d’ingénieur de l’État et devient directeur technique de la Société lorraine industrielle de février 1881 à décembre 1883. Pendant ces années, il participe à la création des aciéries de Longwy, et à la construction des deux hauts fourneaux d’Hussigny. Il quitte la société lorsqu’elle lui refuse tous les projets qu’il avait étudiés.

En 1884, il est remis en activité et chargé du sous-arrondissement minéralogique de Carcassonne, et, en outre, attaché au service de la 2e section du contrôle de l’Exploitation des Chemins de fer du Midi. Il y montre une grande activité, produit des études sur les gisements de fer, de talc et de bauxite de la région. Il étudie ainsi à ses frais des gîtes de fer du Canigou en 1884, malgré l’épidémie de choléra qui sévit dans la région. En 1885, il fait partie du jury de l’Exposition industrielle de Montpellier. Son caractère reste difficile, il s’oppose à son supérieur qui le juge « aigri par de nombreux déboires dans le corps, dans l’industrie, dans sa fortune » et se plaint de sa peine à obéir. Ses supérieurs le proposent pourtant au grade d’ingénieur en chef.

À sa demande, en août 1885, il quitte le poste de Carcassonne pour Troyes où il est chargé du sous-arrondissement minéralogique et du 3e arrondissement de la 1e section du contrôle de l’exploitation des Chemins de fer de l’Est. Dès son arrivée, il y fonde un laboratoire d’analyses. Il n’y est pourtant pas plus apprécié par son supérieur. Ce dernier le juge imbu de sa supériorité, insensible à la bienveillance envers ses subordonnés et léger dans son travail. Il le surveille dans son travail d’analyse au laboratoire de Troyes, sans pouvoir « éviter qu’il ne commît des irrégularités de nature à mécontenter gravement l’administration départementale ».

En octobre 1886, Braconnier demande des réparations pour des persécutions qu’il aurait subies auparavant de la part de ses supérieurs. Parmi eux, André Jacquot, inspecteur général des Mines, dont il demande la mise à l’écart. Dans le même temps il sollicite sa promotion au grade d’ingénieur en chef. Il donne un mois au ministre pour se décider, faute de quoi, il menace de divulguer « des choses qu’il vaudrait mieux laisser dans l’obscurité ».

Mais, en octobre 1886, c’est une autre affaire qui lui vaudra des sanctions. Il est en effet alors compromis dans une affaire de tentative d’escroquerie, concernant l’agence de « l’Ancre ». Cette société anonyme, commerciale et industrielle, opère sur les substances d’économie domestique comme intermédiaire direct entre les producteurs et les consommateurs et son capital doit s’élever à un milliard de francs.

Son promoteur est M. Ranblonce-Dairfre, en réalité un pseudonyme (anagramme de son nom) derrière lequel se cache Braconnier. Il est arrêté et interrogé à Paris, sans que le délit de tentative d’escroquerie soit établi, puis relaxé, faute de charges solides. Malgré cela, en novembre 1886, le ministre des Travaux publics Charles Baïhaut prononce sa mise en retrait d’emploi sans traitement. Braconnier reste sans emploi. Il essaie en 1887 de monter une fabrique de couleurs surfines à partir des ocres de Bourgogne et d’organiser une société anonyme pour son exploitation, la Société Van Dyck. Mais, selon lui, au dernier moment, « les capitalistes ne sont pas venus à lui », ce qu’il attribue à la diffusion de la nouvelle de sa mise en retrait d’emploi. Comble de malchance, un incendie détruit les bâtiments et l’outillage qu’il avait déjà installés, engloutissant ses dernières ressources. Le Conseil général des Mines intercède cependant en sa faveur, dans un rapport de janvier 1889 ; il propose notamment qu’on lui confie une mission technique à l’étranger.

Début 1889, Braconnier propose de son côté une mission d’études et de projets relatifs au captage ou à la conservation des eaux minérales ou des eaux potables, puis une mission pour examiner les progrès réalisés dans la fabrication de l’aluminium et de ses alliages. En juin 1890, il demande une mission d’étude de l’état présent et à venir de l’industrie des minerais de plomb, zinc et autres métaux, en particulier sur l’influence qu’elle peut avoir sur la prospérité des colonies. Aucune proposition n’est retenue par le ministère, car Braconnier ne peut représenter une administration qu’il a attaquée.

La même année, il essaie de créer une nouvelle société, l’Association des artistes parisiens, qui se propose de produire des bustes de grandeur naturelle à partir de photographies et qui les réalise en ciment métallique, utilisant les rebuts de l’industrie minière du zinc, une découverte de Braconnier. La mesure de retrait est alors transformée en mise en disponibilité pour défaut d’emploi avec les deux tiers du traitement, pour « raisons d’humanité » envers sa famille. Cela n’empêche cependant pas Braconnier, à l’automne 1890, d’envoyer plusieurs lettres à l’administration des Travaux publics attaquant des fonctionnaires du Corps des mines et le ministre Yves Guyot.

Il vise plus particulièrement l’inspecteur général Jacquot. Il publie en même temps un petit journal L’avenir aux zingueurs relayant les mêmes attaques. Il s’en prend aussi à Louis Grandeau*, alors directeur de la Station agronomique de l’Est : il lui envoie une lettre de menaces, en citant des extraits de son journal, qu’il a fait distribuer à Paris et qu’il menace d’envoyer partout en France : « En lisant ce journal, vous verrez de quel bois je me chauffe et comment je mène campagne pour rétablir intégralement ma réputation détruite par les roublards et assurer le succès de ma grande invention… Vous avez démoli, il faut rebâtir et solide… Dans mon 3e numéro, je vais faire justice de tous les roublards industriels dont vous êtes un des princes. »

Par une sorte de chantage, il promet son silence contre 5 000 francs et la souscription à 50 actions d’une société anonyme qu’il cherche à fonder. Son cas est alors examiné par le Conseil général des Mines qui siège en novembre 1890, et retient des fautes très graves « contre la discipline et contre l’honneur du corps » ; il prononce la révocation de Braconnier, ce que le ministre Guyot appuie dans son rapport au Président de la République Sadi Carnot. Cependant, dans un rapport au ministre, le chef de cabinet du personnel Paul Sébillot plaide pour une atténuation de la condamnation, en jugeant son attitude liée à une « surexcitation mentale arrivée à un degré inquiétant… un état d’invalidité morale. »

En décembre 1890, il est ainsi replacé en situation de retrait d’emploi sans traitement jusqu’au moment où il sera en mesure d’obtenir sa retraite, en janvier 1892.

De son côté, Braconnier invoquera des « raisons d’infirmités contractées en service » pour justifier sa demande de mise en retraite. Il décède le 11 janvier 1908.

Étienne Bolmont

Bibliographie

Braconnier Alfred (1863), Mémoire sur la fabrication de la fonte et du fer en Haute-Marne et dans le Châtillonnais.

___ (1871), Les minerais de fer dans le département de la Meurthe : Statistique pour 1870, Nancy, N. Collin.

___ (1878), Carte géologique et agronomique de Meurthe-et-Moselle dressée en 1878, Paris, Imprimerie Gaillac-Monrocq.

___ (1879), Description des terrains qui constituent le sol du département de Meurthe-et-Moselle, Nancy, Préfecture de Meurthe-et-Moselle.

___ (1880), Mémoire sur les sources sulfatées calciques du trias en Lorraine, Épinal, V. Collot.

___ (1882), Carte géologique et agronomique du Département de Meurthe et-Moselle Formée par l’assemblage des cartes géologiques / Dressées par Mr. Levallois... et par Mr. Reverchon ; revue et corrigée par Mr. Braconnier, Paris, imp. Erhard.

___ (1886), Lettre adressée par M. Braconnier, ingénieur des mines, à MM. les ingénieurs des mines et des ponts et chaussées, Paris, Imp. de Chaix.

Sources d’archives

Archives nationales : dossiers de carrière (F/14/11410 et F/17/20272) et dossier de Légion d’honneur (LH/349/70).

Bibliothèque patrimoniale de l’École des mines de Paris.

Sources secondaires

Moine Jean-François (1985), « Ingénieurs des mines et industrie métallurgique : Alfred Braconnier et l’adoption du procédé Thomas par la sidérurgie lorraine », Annales de l’Est, 37, 83-117.

Thépot André (1998), Les ingénieurs des mines du 19e siècle, histoire d’un corps technique d’État, T1 : 1810-1914, Eska.

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Photographie d'Alfred Braconnier élève à l'école Polytechnique Image