Maurice BOUIN
Maurice BOUIN (1873-1954)
Professeur de zoologie appliquée
Maurice Bouin est né le 20 juin 1873 à Vendresse (Ardennes). Son père, Jean Léon Bouin (1839- ?), exerce la profession de vétérinaire, tout comme un de ses arrières-grands-pères. La famille Bouin est liée à celle du zoologue Émile Baudelot*, petit cousin de la mère de Maurice, Adèle Alsimide Baudelot (1839- ?). Bouin se marie en juin 1918 avec Marguerite Sirotenko. Née à Bobrov (Russie) en 1886, elle est alors la mère d’un enfant né d’un premier mariage avec un certain Jannin, dont on peut supposer qu’il est mort durant la Première Guerre mondiale. Dans les années 1910, elle avait été interne à l’Asile d’aliénés de Château-Picon à Bordeaux dans le service du neurologue Roger Anglade. C’est sous sa direction qu’elle avait soutenu en 1916 une thèse de médecine consacrée à l’Étude des guérisons tardives dans les maladies mentales. Marguerite et Maurice Bouin n’auront pas d’autres enfants. Par certains aspects, la trajectoire de vie et de carrière de Maurice Bouin semble se confondre avec celle de son frère, Pol (1870-1962), qui sera professeur d’histologie à la Faculté de médecine de Nancy et se fera connaître pour l’invention d’un fixateur cellulaire très utilisé en cyto-histologie, le liquide de Bouin. Son fils Serge Jannin-Bouin fera des études de médecine et sera aide-préparateur de zoologie appliquée à l’École de laiterie.
Tout comme son frère aîné, Maurice Bouin fait ses études au lycée de Charleville avant de rejoindre la Faculté des sciences de Nancy, où il obtient en 1896 une licence ès sciences naturelles. À cette époque il fréquente la Conférence biologique de Nancy fondée en 1895 par Auguste Prenant (1861-1927) et à laquelle son frère semble étroitement lié (elle change de nom en 1897 pour s’appeler Réunion biologique de Nancy puis, en 1903, devient la Société de biologie de Nancy). En juillet 1897, Maurice Bouin obtient son certificat d’études physiques, chimiques et naturelles (PCN). Quelques mois plus tard, en novembre, il est nommé par un arrêté rectoral préparateur en sciences naturelles, en remplacement de Geoffroy Hecht * (1862-1937). Parallèlement à ses responsabilités professionnelles, il prépare un doctorat qu’il soutient à Nancy le 22 novembre 1900. Sa première thèse, qui porte sur une espèce commune de grenouille rousse, est intitulée Histogenèse de la glande génitale femelle chez Rana Temporaria L. Elle semble favorablement appréciée et lui fournit la matière de plusieurs publications scientifiques. Auguste Prenant, titulaire de la chaire d’histologie à la Faculté de médecine de Nancy – chaire sur laquelle lui succédera Pol Bouin en 1908 – en rédige d’ailleurs un élogieux compte rendu en 1901 dans la Revue générale des sciences pures et appliquées.
Les services rendus à la faculté et les travaux de recherche qu’il publie valent à Maurice Bouin d’être nommé maître de conférences de zoologie en novembre 1903. Sa nomination se produit à un moment clé. La faculté des sciences vient en effet de se doter d’un institut agricole auquel est venu se greffer un institut colonial ; or, même si les premières promotions sont peu fournies, les besoins en enseignement sont réels. À peine nommé, et bien que ses recherches antérieures ne semblent pas l’y avoir spécialement préparé, Bouin fait preuve d’un grand sens d’initiative en organisant un service de distribution de tuberculine très apprécié des vétérinaires de la région, mais aussi et surtout en créant de toutes pièces, au sein de la faculté, une école de laiterie. Vers 1900, la laiterie est encore constituée de modestes exploitations familiales et les techniques de production et de contrôle demeurent très empiriques. Cependant, la consommation de lait et de produits laitiers ne cesse alors d’augmenter, notamment en milieu urbain. La maîtrise des techniques de transformation du lait, la lutte contre les fraudes, le souci de l’hygiène et de la qualité sanitaire du lait incitent au développement de la recherche sur le lait et les professionnels de la filière appellent de leurs vœux la création d’un enseignement spécialisé dans ce domaine. Bouin a mené en 1897 quelques recherches sur les processus de fermentation, ce qui lui confère une certaine légitimité en zoologie appliquée. Avec l’appui de Lucien Cuénot*, Bouin crée un premier enseignement de microbiologie appliquée au lait qui est très vite complété par des cours de chimie et de technologie laitière ; en octobre 1905, un arrêté du ministère de l’Instruction publique institue un « certificat d’études de l’École de laiterie ». Signe des relations étroites qui se tissent alors entre l’université et le monde économique, cette école sera hébergée dans les locaux de l’institut agricole jusqu’à la construction de bâtiments propres, au début des années 1930. Elle fonctionnera pendant de nombreuses années selon un double principe : une spécialisation complémentaire en laiterie pour les élèves de l’institut agricole et une formation spécifique pour quelques élèves recrutés directement et affectés à l’école de laiterie elle-même. Les enseignements dispensés concerneront tout ce qui a trait à la chimie du lait et à la microbiologie, aux techniques de réfrigération, de pasteurisation et de commercialisation des produits laitiers. Les débuts sont cependant modestes : la première promotion, en 1905-1906 ne compte que 4 étudiants recrutés directement, auxquels s’ajoutent ceux de l’Institut agricole et colonial ; jusqu’en 1914, la scolarité ne dure qu’un semestre et l’essentiel des élèves provient de l’Institut agricole.
Bouin est reconduit dans ses fonctions de maître de conférences chaque année jusqu’en janvier 1908, moment où un arrêté lui confère le statut de maître de conférences de zoologie sans limite de temps. En 1907, il est par ailleurs nommé professeur adjoint ; il s’agit là d’une attribution purement honorifique qui témoigne de la satisfaction du recteur et du doyen en regard de ses travaux ; d’un point de vue administratif, il demeure maître de conférences jusqu’en mars 1921, moment où il obtient le titre de professeur sans chaire. Cette nomination est liée à une nouvelle disposition ministérielle qui stipule que « le titre de professeur est conféré aux agrégés, chargés de cours et maîtres de conférences des facultés pourvus du titre de professeur adjoint ». Il occupera cette position pendant un peu plus de dix ans. En octobre 1932, il est enfin nommé professeur à une chaire nouvellement créée de zoologie appliquée.
Avant 1914, les appréciations sur son travail, et notamment sur la manière dont il concilie ses enseignements, ses recherches et la direction de l’École de laiterie, sont très élogieux. Bouin fait à cette période des cours de zootechnie, de microbiologie, de zoologie pratique et agricole et même de pisciculture. En 1906, le recteur Charles Adam salue son zèle scientifique et mentionne qu’il est au courant des derniers progrès de la science à l’étranger. L’année suivante, Adam fait état de la publicité donnée à l’École de laiterie à l’étranger : « Homme d’initiative, qui sait organiser et négocier. Son école de laiterie parfaitement comprise et qui a attiré l’attention des revues spéciales (en Allemagne) ne peut manquer d’avoir un jour tout le succès qu’elle mérite ». Le recteur souligne aussi son désintéressement scientifique absolu car il fait ses voyages d’études à ses frais. Néanmoins, l’école de laiterie semble rencontrer des difficultés matérielles et financières (locaux exigus, manque de personnel, déficit d’étudiants) qui contraignent Bouin à s’investir dans des tâches administratives qu’il est le seul à assumer. Ce fardeau va le suivre durant toute sa carrière et s’alourdira encore après le conflit de 1914-1918, notamment en raison des destructions liées aux bombardements.
Maurice Bouin fait son service militaire en 1893. Il se blesse gravement au genou lors d’un exercice de gymnastique, ce qui lui vaut, à son grand regret, d’être réformé en 1908. Il ne peut donc être mobilisé lorsqu’éclate la guerre en 1914. Très patriote, il décide de mettre sa personne et son laboratoire à la disposition des hôpitaux et des ambulances auxiliaires de Nancy. Au début du conflit, il s’occupe ainsi de former des personnels et d’assurer la fourniture de plusieurs ambulances en sérums artificiels, ampoules hypodermiques, pansements et instruments stériles. Il utilise également une machine à glace pour alimenter, pendant les périodes de chaleur, l’ambulance du lycée Henri Poincaré. Il prend enfin en charge les grosses stérilisations pour l’hôpital auxiliaire de Maxéville. Après une visite médicale, il obtient finalement en novembre 1914 l’autorisation de contracter un engagement volontaire pour la durée de la guerre. Il est alors affecté administrativement à l’hôpital Sédillot, au sein de la 23e section d’infirmiers militaires, mais il est en fait maintenu dans son laboratoire de microbiologie pour y continuer son travail d’assistance aux hôpitaux et aux ambulances. Il est par ailleurs autorisé à continuer ses cours à la faculté, ce dont le doyen Gaston Floquet* se félicite. En septembre 1917, il est placé en sursis d’appel et il termine la guerre comme caporal. Son frère Pol sera quant à lui chef de service à l’Hôpital Villemin de Nancy et jouera un rôle dans la lutte contre l’épidémie de grippe espagnole en 1918.
Son retour à la vie civile se fait dans un contexte difficile. À la fin de la guerre, Nancy a subi plusieurs bombardements qui ont causé de sérieux dégâts aux installations universitaires. S’il peut se satisfaire de sa nomination comme professeur sans chaire en 1921, ses conditions d’enseignement et de recherche sont particulièrement dégradées. Ainsi en 1923, un rapport évoque cette situation difficile : « M. Bouin s’est orienté vers les recherches concernant la laiterie depuis la création de l’École de laiterie qu’il dirige et aussi vers les études de pisciculture. Ses études sont singulièrement entravées, depuis la guerre, par la destruction, en suite de bombardements, du modeste matériel de pisciculture qu’il avait formé et par le mauvais état dans lequel se trouve, par défaut d’entretien, M. Bouin ayant été mobilisé, le matériel de l’École de brasserie. N’ayant ni préparateur ni garçon de laboratoire et des crédits plus que modiques M. Bouin rencontre de grosses difficultés et il s’efforce cependant d’en triompher dans la mesure qui est matériellement possible. » Bouin bénéficie toujours du soutien de sa hiérarchie qui salue le concours actif précieux qu’il apporte à l’institut agricole. Cependant des voix se font peu à peu entendre sur son « rendement scientifique » qu’elles jugent décevant. Ainsi, le recteur de Nancy Louis Bruntz (1877-1944) écrit en 1931 : « Maître qui s’est consacré depuis longtemps aux enseignements techniques de la faculté des sciences. Apporte un précieux concours à l’Institut agricole où il enseigne la zootechnie et la pisciculture. A créé une école de laiterie qui accueille tous les ans une douzaine d’élèves. Malheureusement, M. Bouin, qui était bien placé et qualifié pour faire des recherches de laboratoire me semble s’être endormi dans une douce quiétude. Néanmoins, mériterait une titularisation personnelle dans une chaire de zoologie appliquée. » Cette titularisation lui sera accordée l’année suivante : en octobre 1932, Bouin est nommé à une chaire nouvelle dédiée à la zoologie appliquée ; un mois plus tard il prend possession des installations neuves du laboratoire de zoologie appliquée et de laiterie, ce qui va grandement améliorer ses conditions d’enseignement et de recherche. Il devra cependant attendre encore jusqu’en octobre 1933 pour profiter du laboratoire de pisciculture et des installations du Muséum de zoologie qui – fruits des efforts de Lucien Cuénot* – viennent d’être inaugurés rue Sainte Catherine.
Ces nouveaux moyens accordés à l’École de laiterie vont contribuer à en faire un centre de formation réputé, aussi bien en France qu’à l’étranger (l’école accueille de nombreux élèves des pays de l’Est dans les années 1930-1950). Cependant, elle continue de souffrir d’un manque chronique de moyens financiers et humains. De plus, plusieurs facteurs tendent à la marginaliser dans le paysage universitaire : l’incompréhension de certains universitaires à l’égard des sciences appliquées, le désintérêt grandissant des pouvoirs publics et des professionnels, la concurrence de formations liées au ministère de l’Agriculture. De fait, l’enseignement se réduit progressivement et le recrutement devient de plus en plus régional. La Seconde Guerre mondiale oblige l’école à fermer ses portes en 1940 et en juin de cette année Bouin fait valoir ses droits à la retraite. Celle-ci n’est cependant pas effective avant 1944 et dans l’intervalle il continue de maintenir des activités, tentant même de rouvrir l’école en 1943. Après son départ à la retraite, sa chaire de zoologie appliquée est transformée en une chaire de biologie animale attribuée à André Veillet (1911-1993). Celui-ci réorganise l’École de laiterie en 1949 en la tournant vers la formation d’ingénieurs. Après la création transitoire d’une école privée, un arrêté ministériel institue à la fois l’École de laiterie, un diplôme d’études supérieures de laiterie et un diplôme d’ingénieur. La création de l’Institut national polytechnique de Lorraine en 1971 a pour effet d’imposer une fusion des trois écoles nancéiennes biologiques – École de laiterie, École de brasserie et École nationale supérieure d’agronomie – en une seule : l’École nationale supérieure d’agronomie et des industries alimentaires (ENSAIA) .
Durant toute sa carrière, Bouin mène des recherches dans des domaines très variés : embryologie, cytologie, chimie biologique, pisciculture, zootechnie. Avec son frère, il publie dès la fin des années 1890 – principalement dans la Bibliographie anatomique et dans les Archives d’anatomie microscopique – des travaux sur la reproduction des liliacées, des étoiles de mer et des mille-pattes. Après sa thèse, et du fait même de ses responsabilités nouvelles au sein de l’École de laiterie, il semble se désintéresser de ces questions pour se tourner vers l’étude de la physico-chimie du lait, domaine dans lequel il mène d’abord des travaux avec Pierre Gobert* (1881-1915). Il acquiert dans ce domaine une certaine autorité due à la pertinence de ses critiques des formules proposées pour apprécier tant le mouillage du lait dit normal que les laits pathologiques (laits de mammite notamment). Ses deux articles publiés dans la revue Le lait – revue générale des questions laitières démontrent que la constante moléculaire simplifiée (CMS) qui avait été proposée par L. Mathieu et L. Ferré en 1914 dans un article des Annales de falsification n’a pas « l’infaillibilité » qui lui est prêtée pour appréhender ces laits anormaux. Par ailleurs, son approche très zootechnique de la science du lait lui fait soupçonner l’existence de variations naturelles notables de la composition du lait liées au stade de lactation. Son enseignement et ses recherches inspirent plusieurs thèses de doctorat dédiées à la pisciculture ou aux questions de zootechnie bovine. Officier de l’Instruction publique (1909), officier d’Académie (1913), Bouin est également chevalier de l’ordre du Mérite agricole et, sur proposition du recteur Bruntz, chevalier de la Légion d’honneur en 1939. Il meurt à Bouxières-aux-Dames le 11 octobre 1954.
Laurent Rollet
L’auteur de cette notice tient à remercier Michelle Cussenot, Jean-Louis Maubois, Joël Hardy et Guy Linden pour leurs précieux conseils et éclairages.
Bibliographie
Bouin Maurice (1897), « Contribution à l’étude du noyau des levures », Archives d’anatomie microscopique, 1, 435-457.
___ (1899), « Origine des corps adipeux chez Rana temporaria (L.) », Bibliographie anatomique, 7, 301-308.
___ (1900), « Expulsion d’ovules primordiaux chez les têtards de grenouille rousse », Bibliographie anatomique, 8, 53-59.
___ (1901), Histogenèse de la glande génitale femelle chez Rana Temporaria L, thèse de la Faculté des sciences de Nancy, Liège, Imprimerie Vaillant-Carmanne.
___ (1920), « Contribution à l’étude des variations de la composition du lait de vache au cours de la lactation », Comptes rendus de l’Association française pour l’avancement des sciences, congrès de Strasbourg, 262-266.
___ (1924), « L’analyse indirecte et le mouillage du lait », Le lait, revue générale des questions laitières, 4, 31, 10-14.
___ (1931), « Inconvénients de la surabondance des plantes aquatiques dans les bassins consacrés à l’élevage intensif des salmonidés », Comptes rendus de l’Association française pour l’avancement des sciences, congrès de Nancy, 259-260.
___ (1931), « Observations sur l’alimentation des jeunes salmonidés », Comptes rendus de l’Association française pour l’avancement des sciences, congrès de Nancy, 258-259.
___ (1933), « La constante moléculaire simplifiée et les laits pathologiques », Le lait, revue générale des questions laitières, 13, 125, 541-548.
Bouin Maurice & Bouin Pol (1898), « Sur le développement de la cellule-mère du sac embryonnaire des Liliacées et en particulier sur l’évolution des formations ergastoplasmiques », Archives d’anatomie microscopique, 2, 419-454.
___ (1898), « Sur la présence de filaments particuliers dans le protoplasme de la cellule-mère du sac embryonnaire des Liliacées », Bibliographie anatomique, 6, 1-10.
___ (1898), « Sur la présence de formations ergastoplasmiques dans l’ovocyte d’Asterina gibbosa (Forb.) », Bibliographie anatomique, 6, 53-62.
___ (1899), « Sur la présence et l’évolution de formations ergastoplasmiques dans les cellules séminales de Lithobius forficatus (Li.) », Bibliographie anatomique, 7, 141-150.
___ (1900), « A propos du follicule de Graaf des mammifères. Follicules polyovulaires. Mitoses de maturation prématurées », Soc. biol. mém., 7, 17-18.
Bouin Maurice & Gobert Pierre (1907), « À propos de la détermination de l’extrait sec et de quelques formules de calcul utilisées dans le contrôle du lait », Revue générale du lait, VI.
Sources d’archives
Archives nationales : dossier de carrière (F/17/24781) et dossier de Légion d’honneur (LH/19800035/0058/7127).
Sources secondaires
Courrier Robert (1962), « Notice sur la vie et les travaux de Pol Bouin membre non résidant », Comptes rendus de l’Académie des sciences, 592-624.
Hardy Joël (2005), 100 ans d’enseignement supérieur pour l’industrie laitière, à Nancy, Conférence donnée lors du centenaire de l’enseignement laitier à Nancy.
Jannin-Bouin Serge (1938), Les laits insalubres, leur législation, leur contrôle rapide, thèse de médecine soutenue à la Faculté de médecine de Nancy, Nancy. Serge Jannin-Bouin était le beau-fils de Maurice Bouin.
Jannin-Bouin Marguerite (1936), L’hygiène du lait et la pasteurisation tubulaire intégrale, thèse de médecine soutenue à la Faculté de médecine de Nancy, Nancy. Marguerite Jannin-Bouin était la belle-fille de Maurice Bouin.
Jannin (née Sirotenko) Marguerite (1916), Contribution à l’étude des guérisons tardives dans les maladies mentales, thèse de doctorat de médecine soutenue à la Faculté de médecine de Bordeaux, Bordeaux, Cadoret.
Legait E. (1962), Éloge funèbre de Pol Bouin (1870-1962), Nancy.
Prenant A. (1901), « Compte rendu de la thèse de Marcel Bouin Histogenèse de la glande génitale femelle chez Rana temporaria L. », Revue générale des sciences pures et appliquées, 634-635.
Pueyo Guy (1997), « Autour d’un centenaire », Bulletin des Académie et Société lorraines des sciences, 35, 29-37.